1354 Boulevard du Canada, Cadjèhoun - Cotonou +229 60 11 27 27 contact@aps-benin.com

1354 Boulevard du Canada, Cadjèhoun - Cotonou

VOUS PENSEZ AVOIR DES SYMPTOMES OU AVOIR ETE EXPOSE AU CORONAVIRUS ?

N’hésitez pas à vous soumettre à un questionnaire qui vous permettra de faire le point sur la situation, à l’adresse suivante, c’est gratuit et anonyme si vous le souhaitez :
 
 
En une vingtaine de questions qui ont le mérite de vous faire réfléchir sur les signes qui peuvent vous alerter, un conseil vous est donné. Le questionnaire simple porte sur :

– votre état de santé actuelle ;
– les traitements qui sont les vôtres en ce moment.

 
Si vous avez des craintes, à la lecture du verdict qui vous est délivré en ligne, consultez votre médecin : vous gagnerez du temps pour lui fournir les éléments qu’il attend de vous, si vous avez déjà répondu à ce questionnaire.
 

 

SURTOUT, RESPECTEZ BIEN LES GESTES BARRIÈRE : POUR VOUS ET POUR LES AUTRES !

ASSUREZ-VOUS ET FAÎTES DU SPORT !

METTEZ TOUTES LES CHANCES DE VOTRE CÔTÉ :

ASSUREZ-VOUS ET FAÎTES DU SPORT !

L’hygiène de vie est primordiale pour votre santé et le sport devrait  – quel que soit votre âge – en faire partie.

Le sport-santé a des vertus sociales : vivre ensemble, tolérance. Il a également des vertus, reconnues par les professionnels de santé, en tant que vecteur de prévention, aussi bien pour le corps que pour l’esprit : « mieux vaut prévenir que guérir » !

Mais le sport peut également jouer son rôle en tant que solution médicale alternative dans le traitement de certaines affections :

L’infarctus : à court terme, le sport diminue les symptômes de l’infarctus et améliore la qualité de vie.  Long terme, il diminue la mortalité : le programme est à construire avec votre cardiologue.

L’asthme : le sport est efficace pour diminuer la fréquence des crises d’asthme : la natation serait le sport le plus efficace.

Les douleurs de dos : la musculation ou les exercices de gainage sont recommandés.

Le cancer : on a constaté que les rechutes étaient beaucoup plus rares, après la mise en place d’un programme adapté.

L’obésité : le sport est évidemment efficace. Il est recommandé de combiner musculation et activité d’endurance. L’objectif recherché doit être d’une heure de sport chaque jour.

ET SI VOUS N’ÉTIEZ TENTÉ QUE PAR UN SEUL SPORT SIMPLE ET EFFICACE ? FAÎTES DE LA MARCHE : ½ heure par jour… à tout âge… et pour toute affection

Nos remerciements à Hélène MASSON, pour sa contribution à la prévention santé & bien-être de l’APS.

Avec l’APS, prévenir l’imprévisible !

Autour du Coronavirus

Pour aider les internautes à mieux comprendre l’épidémie du Coronavirus, nous reproduisons ici un article proposé par BSI, que nous remercions pour sa contribution.

L’avis d’un expert :

Selon le Professeur Christian D’Enfert : « On a des niveaux de 2 à 3 % de mortalité chez les personnes qui présentent des symptômes sévères, explique le directeur de l’Unité Biologie et Pathogénicité fongiques de l’Institut Pasteur. Cela reste un taux de mortalité relativement faible, comparé à celui de la grippe saisonnière. En revanche, on a beaucoup de questions sur la contagiosité ».

Un avis scientifique qui, s’il ne fait pas disparaître toutes les craintes, doit calmer la psychose qui monte en puissance à ce sujet.

Rappel des règles d’hygiène à respecter pour éviter les contaminations en toutes circonstances :

– Se laver les mains régulièrement,
– Utiliser des mouchoirs jetables,
– Tousser dans son coude,
– Éviter les personnes à risque ou porter un masque chirurgical,
– Des précautions qu’on observe moins : nettoyer fréquemment les objets qu’on manipule souvent (et qui deviennent des “nids à microbes”) : salière, poivrier, bouteille de ketchup, pot de moutarde, poignée de porte, carte bancaire, porte-monnaie, menu de restaurants, clavier et souris d’ordinateur, etc.

Le message de votre courtier BSI :

Pour répondre à nos clients qui se posent des questions légitimes concernant l’épidémie relative au Coronavirus :

> Pour ceux qui sont déjà en Chine :

Les voyageurs qui seraient atteints par le virus sont couverts – au titre de la garantie « frais médicaux » – pour le rapatriement, dès lors qu’ils sont transportables.

Les autres voyageurs ne peuvent PAS bénéficier de la garantie « assistance rapatriement » pour un retour anticipé à titre préventif.

> Pour ceux qui envisagent de se rendre dans une zone à risque :

Compte tenu des restrictions et fermetures décidées par les autorités chinoises, il est recommandé de reporter tout déplacement vers la Chine qui ne revêt pas un caractère primordial.

Retrouvez l’intégrale de l’article ICI.
Avec l’aimable contribution de : 

GARE au VIH ! HALTE aux IST !

 

Le premier cas de personne atteinte du VIH au Bénin remonte à 1985. Que de chemin parcouru depuis, que de progrès réalisés, que d’avancées incontestables…
 
Et pourtant le VIH reste un ennemi redoutable dans notre région ouest- africaine.
 
Plus il sera tapi, enfoui et apparemment contrôlé, moins on s’en méfiera et plus les comportements se relâcheront et  les risques grandiront.

 

Sérologie
 
Classiquement on entend depuis longtemps « oh… encore un message sur le VIH SIDA : laissez-nous tranquilles ! ».
 
Dans les pays occidentalisés, la prévention vise désormais davantage les personnes infectées et des communautés ciblées, ce qui la rend, pour la majorité de la population, inopérante.
 
Au Bénin et en Afrique de l’Ouest, la diminution des financements limite les actions d’envergure et les campagnes médiatiques. L’effort est concentré sur la mise à disposition des antirétroviraux, véritable bouée de sauvetage thérapeutique (ils permettent de vivre des années avec le virus VIH) et mécanisme de mieux en mieux huilé de prévention (plus le nombre de personnes infectées et traitées est important, plus la transmission diminue).
 
Dans un pays où le dépistage des personnes infectées est insuffisamment fait, le taux de personnes séropositives au Bénin serait d’environ de 1,2% de la population. Risque faible ? Oui apparemment. Mais un rapport sexuel non protégé suffit. Un rapport sexuel ou un préservatif défaillant avec une personne sous traitement antirétroviral peut être contaminant mais le traitement  diminue très fortement ce risque ; par contre un rapport avec une personne qui ne se sait pas séropositive est hautement contaminant.
 
Avec des relations sexuelles mixtes entre des individus venus de communautés pour certaines très peu informées de la situation du VIH, pour d’autres issues de régions où la communauté politico-sanitaire continue à faire ce qu’elle peut pour dépister  les porteurs, le danger est réel et explosif.
 
1,2% de la population béninoise… une « travailleuse de sexe » sait que dans son groupe, l’infection avoisine plutôt 25%. Les populations appelées  « clefs » sont pour la plupart conscientes du danger et s’organisent pour limiter la contamination, à l’instar des travailleuses du sexe, des hommes ayant des relations avec les hommes et des usagers de drogues qui n’avoueront certainement pas facilement ces pratiques et appartiennent à des groupes dont on pense que la prévalence avoisine 6 à 7%. Le VIH n’est plus la « slim disease » des années préhistoriques, le progrès ont été faits avec bravoure, malgré tous les décès prématurés, mais le danger reste réel:  plus on le niera plus il rattrapera le citoyen du monde. Protégez-vous lors des relations sexuelles et faites-vous dépister. Si vous êtes séropositif, suivez scrupuleusement votre traitement. Et continuons tous à faire passer le message.

 

Dr Lise-Hélène ADJAHI
 

L’APS Bénin remercie pour sa contribution, Dr Lise-Hélène ADJAHI,  Coordinatrice Générale au Bénin pour  Médecins du Monde Suisse au Bénin.

Le paludisme : aigu ou chronique?

Pour vous aider à mieux comprendre comment fonctionne un contrat d’assurance santé, nous engageons une série d’entretiens exclusifs avec des médecins qui ont bien voulu nous répondre.
 
Dans cette interview, APS Bénin a souhaité connaître l’avis d’un médecin sur la question du paludisme : maladie aiguë ou chronique ?
 
Le Dr Anne BRUNET APITHY, diplômée de la faculté de médecine de Paris (médecine générale et tropicale) et Vice-Présidente de l’APS Bénin, nous donne son avis.
 
BSI : Dr Brunet Apithy, qu’est-ce que le paludisme ?
 
Dr Brunet Apithy : Le paludisme, aussi appelé malaria, est une maladie infectieuse due à un parasite, et propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques. Cette maladie est présente dans toute la zone intertropicale. Les agents du paludisme sont principalement PLASMODIUM FALCIPARUM et PLASMODIUM VIVAX.
 
BSI : Quelle différence cela fait-il, Docteur ?
 
Dr Brunet Apithy : PLASMODIUM FALCIPARUM  est le plus dangereux de ces parasites car, s’il n’est pas soigné, il peut être mortel. Traité à temps, il ne provoque par contre pas de rechute : il faut être piqué de nouveau pour refaire un accès palustre. Les accès simples ne comportent pas de signes de malignité, mais ils peuvent à tout moment évoluer vers l’accès grave (pernicieux ou cérébral ou viscéral évolutif). Ils apparaissent après une incubation de 5 à 15 jours, suivant la piqûre infectante, d’où l’importance du diagnostic et du traitement précoce. L’évolution est favorable en quelques jours sous traitement correct et si le malade quitte la zone d’endémie. Il ne risque plus de rechute au-delà du 2ème mois et la guérison est sans séquelle.
 
Au contraire, PLASMODIUM VIVAX (autre espèce de Plasmodium), provoque des accès sans gravité. Mais, du fait de la persistance des parasites dans le foie (parfois plus de 2 ans !), des accès peuvent apparaître sans nouvelle piqûre de moustique.
 
BSI : Le paludisme doit il alors être considéré comme aiguë ou chronique ?
 
Dr Brunet Apithy : de ces deux formes de paludisme, l’une peut être considérée comme aiguë et l’autre chronique. Dans tous les cas, le paludisme se soigne bien avec un traitement adéquat et administré dans les temps. Cette pathologie, si elle est correctement  détectée et soignée, est finalement bénigne et son traitement peu onéreux.
 
BSI : En conclusion Docteur ?
 
Dr Brunet Apithy : Tout voyageur pour un cours séjour en zone d’endémie doit utiliser un traitement préventif. Tout résident en zone d’endémie doit avoir rapidement accès à un test de paludisme ainsi qu’à un traitement sûr.
 
L’essentiel est de réagir vite car les problèmes apparaissent en cas de retard dans le diagnostic (« goutte épaisse ») et la prise du  traitement.
 
BSI : Merci Docteur pour toutes ces précisions !
 

 

Attention aux Fièvres Virales Hémorragiques

On en parle si souvent de nos jours …
 
Est ce une nouvelle maladie ? Non, pas vraiment : elles sévissent depuis des années, mais à petite échelle.
 
Si elles sont devenues courantes, pourquoi est-il difficile de les soigner ?  Parce qu’il manque de la connaissance et un plateau technique local pour poser le diagnostic.
 
Mais alors, l’adage du sage « mieux vaut prévenir que guérir » prend toute sa valeur ! Comment fait on ?
 
La médecine et les soins s’apprennent, s’entretiennent, voire se développent avec les nouvelles connaissances.  L’inverse est également vrai : une absence ou un manque de pratique met le « cerveau au repos » et laisse  la mémoire reprendre ses droits, en oubliant…
 
On apprend les fièvres virales hémorragiques (FVH) à la faculté. Et de nos jours, alors que la FVH à virus Ebola est sous le feu de la rampe, on s’étonne de se rappeler qu’elle est connue depuis 1975. Cependant, son impact était si faible qu’il a fallu attendre une épidémie mondiale pour se souvenir, avec douleur, de son taux de mortalité à 90% et de son absence de traitement spécifique.
 
On suit l’actualité lorsque qu’il s’agit d’un virus comme Zika, de la même famille des FVH. On se perfectionne en apprenant que le terme usuel courant de « fièvre virale hémorragique » est finalement bien trompeur car l’hémorragie provoquées au cours de ces fièvres n’est certainement pas ce qui les caractérise le mieux ni même le plus fréquemment. Il ne faut d’ailleurs surtout pas l’attendre pour poser le diagnostic car alors il est trop tard.
 
Mais alors, que dire du virus de Lassa qui a sévi au Bénin, au point d’avoir été déclaré trois fois par le ministère de la santé ? La même chose, c’est une FVH, transmissible par un hôte intermédiaire : le rat multi mamelles qui vit dans nos foyers et garde-manger.  On a parlé de la chauve-souris pour Ebola, d’un moustique pour la fièvre jaune et la dengue. … Vous avez dit quoi ? Fièvre jaune ? Dengue ?
 
La fièvre jaune, mais on se vaccine ? Et oui certaines d’entre ces terribles maladies se vaccinent. On sait d’ailleurs maintenant qu’une seule et unique injection de vaccin contre la fièvre jaune suffit à conférer une protection à vie (plus besoin de rappel tous les 10 ans). La dengue quant à elle sévit fortement au Bénin et n’est jamais diagnostiquée car le plateau technique n’existe pas ! Dites à votre voisin que vous avez attrapé la dengue et il vous demandera « où as-tu voyagé pour attraper ca ? » La réponse est ici, à Cotonou… le moustique tigre est bien ici.
 

En pratique, que retenir :

  • Se faire absolument vacciner contre les maladies dont le vaccin existe et est reconnu comme efficace (fièvre jaune). Garder son carnet, et en faire une copie archivée en cas de perte ;
     
  • Faire confiance aux soignants qui, bien qu’ amputés de plateau technique, déploient des stratégies rebelles pour poser le diagnostic (leur mémoire se réveille et ils utilisent des services d’aide au diagnostic éloignés mais existants à l’Institut Pasteur de Dakar) ;
     
  • Se souvenir que seulement 30% de syndromes palustres sont dus à un paludisme au Bénin, et donc 70% sont autre chose. Si un traitement antipaludique ne soigne pas, le médecin se servira de ce pseudo échec d’un traitement bien fait pour étayer son diagnostic ; retourner le voir en cas de signes persistants ;
     
  • Et ne pas être fataliste ni croire à l’envoûtement.
 
Dr Lise-Hélène ADJAHI
 

L’APS Bénin remercie pour sa contribution Dr Lise-Hélène ADJAHI,  Coordinatrice Générale au Bénin pour  Médecins du Monde Suisse au Bénin.

 

 

Tchi Tchi Africa : des lunettes abordables, livrées en un temps record !

Un partenaire de l’APS Bénin qui réserve à nos assurés (et aux autres aussi !) un accueil chaleureux dans un cadre novateur et avec tous les équipements professionnels requis.
 
Désormais, changer de lunettes n’est plus un luxe. Après un « benchmarking » en Europe et des études d’opticien, Antoine GREGOIRE, le jeune promoteur de Tchi Tchi Africa a sû trouver des investisseurs pour le suivre et lancer sa propre marque de lunettes de vue ou de soleil.
 
Un service rapide et du « look » à coût étudié : c’est tout ce qui nous plait à l’APS !
 
Tch Tchi Africa sera très bientôt agréé 1/3 payant Saham. Avec votre carte SƆHU, vous ne payez que le reste à charge (20% ou 30% suivant votre contrat). Et nous réservons aux assurés SƆHU des offres spéciales dans le futur.
 
Retrouvez Tchi Tchi Africa au Boulevard de la Marina face Résidences Laïco
 

Tél : +229 66 23 98 44 

Virus ZIKA : c’est quoi ?

L’infection par le virus Zika est due à  un virus de la même famille que la dengue et la fièvre jaune.
 
La transmission se fait par l’intermédiaire d’une piqûre de moustique du genre Aedes, également responsable de la transmission de la dengue et du chikungunya. Il n’est pas exclu que la maladie puisse se transmettre par voie sexuelle.
 
Ce virus est suspecté d’être responsable de graves malformations neurologiques chez le fœtus. La situation est particulièrement préoccupante au Brésil où des centaines de milliers de personnes ont été infectées.
 
Il n’existe pas de vaccin contre le virus Zika.
 
Retrouvez ICI l’intégrale de la communication sur le virus Zika.
 
Merci à Henner pour sa contribution à la rubrique santé de l’APS.  

Assurance et questionnaire médical

Pour aider les internautes à mieux comprendre comment fonctionne un contrat d’assurance « santé », nous reproduisons ici un article proposé par BSI, que nous remercions pour sa contribution.
 
D’une série d’entretiens exclusifs avec des médecins qui ont bien voulu répondre aux questions de ce spécialiste de l’assurance santé, nous vous proposons celui-ci qui concerne le rôle du questionnaire médical dans la souscription par l’assureur.
 
Dans cette interview, BSI a souhaité connaître l’avis d’un médecin sur ce questionnaire médical qu’il doit parfois compléter, à la demande de personnes souhaitant souscrire à un contrat santé ou prévoyance. Quel rôle joue-t-il ? Pourquoi est-il indispensable pour l’assureur ? Le Dr Romain GIRE, diplômé de la faculté de médecine de Saint-Étienne, installé à Saint-Didier en Velay (France), nous donne son avis sur ce questionnaire médical qu’il a l’habitude de compléter. Une procédure qui peut également être demandée au Bénin dans le cadre d’une demande d’adhésion à un contrat maladie ou décès.
 
BSI : Dr Gire, de votre point de vue de médecin, pourquoi la compagnie d’assurance souhaite-t-elle s’assurer de la bonne santé du souscripteur au moment de la signature d’un contrat ? Cela passe notamment par un « questionnaire médical » et parfois par une visite médicale ou des examens médicaux…
 
Dr Gire : Pour souscrire certains contrats, le candidat à l’assurance devra en effet compléter un « questionnaire médical » et dans certains cas un médecin devra, en plus, donner son avis ou  pratiquera des examens. Les déclarations forment la base du contrat. La compagnie d’assurance doit en effet être en parfaite connaissance du « profil de santé » du futur assuré pour confirmer ou non ses conditions. Le médecin est l’autorité experte qui sera parfois amenée à certifier un état de santé et sa signature l’engage. L’assureur s’engage ensuite parfois pour de longues années et couvre des capitaux qui peuvent être importants : on peut comprendre qu’il cherche à sélectionner ses risques car c’est la garantie de primes maîtrisées pour le futur. La mutualité doit être maîtrisée pour sa pérennité.
 
BSI : Et le secret médical dans tout ça ?
 
Dr Gire : Le secret médical interdit au médecin de divulguer des informations sur la santé du patient sans l’autorisation expresse de celui-ci. Quand le patient vient nous voir, c’est à lui que nous répondons et à sa demande… pas à l’assureur !
 
BSI : Faut-il dans le questionnaire médical répondre à toutes les questions ?
 
Dr Gire : Oui, l’assuré (ou le médecin) doit répondre « de bonne foi » à toutes les questions posées par l’assureur. Ce n’est pas à vous que j’apprendrai que la fausse déclaration intentionnelle par l’assuré peut être source de nullité de contrat.
 
 BSI : En conclusion Docteur ?
 
Dr Gire : Pour être franc, je pense que la plupart de mes confrères, tout comme moi-même, n’apprécient pas vraiment de compléter un questionnaire médical… mais c’est notre devoir si le patient le demande. Il faut rappeler à vos clients potentiels qu’il vaut donc mieux s’assurer tant que l’on est en bonne santé, car sinon cela peut s’avérer problématique, voire impossible !
 
BSI : Merci Dr Gire !
 
Retrouvez l’intégrale de l’interview ICI.
Avec l’aimable contribution de :             
 

Calculer votre IMC (Indice de Masse Corporelle)

L’Indice de Masse Corporelle (IMC) permet d’estimer la corpulence d’une personne. Il tient compte de la taille et de la masse.
 
C’est l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui a mis en place cet indice (1997) comme valeur de « référence » pour évaluer les risques liés au surpoids… ou l’inverse. Il faut parfois l’interpréter en fonction des origines de la personne et de la nature de la masse (musculaire ou graisseuse par exemple !).
 
Les compagnies d’assurance utilisent cet indice afin de déterminer le risque d’accident cardiovasculaire chez leurs (futurs) assurés. À partir de cette donnée, entre autres, les assureurs peuvent faire varier les primes, ou encore refuser certains dossiers car le candidat à l’assurance sera considéré comme présentant un risque aggravé ou certain. Cet indice est donc utilisé pour mettre en évidence l’aggravation des facteurs de risques. Il ne sert pas à déterminer précisément la valeur de la masse grasse et encore moins de la masse musculaire et osseuse.
 
Calculez rapidement ICI votre IMC.
 
Si votre IMC s’écarte fortement de la norme, il est conseillé de consulter son médecin, de se mettre au sport et d’adapter un régime alimentaire approprié.
 
Suivez régulièrement les infos de l’APS et de ses partenaires pour mieux connaître votre corps et accéder à une vie plus saine au Bénin. Cet article est réalisé par l’APS. Vous avez une idée d’article à proposer ? Ecrivez-nous à : contact@aps-benin.com

Mentions légales

(Document non contractuel)

APS-BENIN est une Association d’assurés loi 1901 au Bénin. Déclaration n° 2017/2166/DEP-LIT/SG/SAG-ASSOC du 27/11/2017. Les statuts de l’Association ainsi que le règlement intérieur sont consultables sur le Site www.aps-benin.com.

APS-BENIN a mandaté, pour l’étude, le placement, la gestion du contrat SƆHU, la Sarl de courtage d’assurances Africa BSI à Cotonou, désignée comme « le Mandataire », agrément n° 3038-c/MEF/DC/SGM/DGSF/DA/SIFR/198 SGG22 du 14/11/2022, RCCM n° RB/COT/22 B 33303, IFU n°3202268793857, Responsabilité civile professionnelle et garantie financières conformes aux articles 524 et 537 du Code des assurances CIMA.

SƆHU est un Contrat d’assurance santé collectif à adhésion facultative et à durée ferme de 12 mois, régi par le code CIMA (visa n° 2576-c/MEF/DC/SGM/DGAE/DA/SRA/CDR/345 SGG19), souscrit par APS-BENIN pour le compte de ses Adhérents (convention d'assurance santé SƆHU entre « la Compagnie d’Assurances » et APS-BENIN via son Mandataire). Au 1er avril 2019, l'Assureur du contrat SƆHU est Atlantique Assurances Bénin, société régie par le code CIMA. Pour plus d’informations sur Atlantique Assurances Bénin, visiter : www.atlantiqueassurancesbenin.net.

Tout Intermédiaire agréé par Atlantique Assurances Bénin (commercial, agent, courtier, bureau direct…) est habilité (sauf cas particuliers) par Atlantique Assurances Bénin à commercialiser SƆHU.

Les informations relatives à l’assurance SƆHU sur « le Site » aps-benin.com et dans les documents SƆHU sont diffusées sous la responsabilité exclusive du Mandataire en assurances, propriétaire de la marque déposée "SƆHU", des développements techniques sur le site et des droits liés à l'exploitation. L’association APS-BENIN ne saurait en aucun cas être tenue responsable des erreurs ou omissions, qui sont du seul ressort du Mandataire, professionnel habilité par elle.

Procédure d'adhésion

(Document non contractuel)

Généralités
Le code CIMA réglemente les opérations d’assurances au Bénin et s’impose aux parties. Les présentes conditions de vente précisent les relations contractuelles entre les parties, ci-dessous identifiées Vous et Nous, leurs droits et obligations dans le cadre de la vente de SƆHU, contrat d'assurance santé à durée ferme, notamment depuis le Site www.aps-benin.com ou via l’un des liens internet communiqué par le Mandataire à un Intermédiaire agréé par Atlantique Assurances Bénin ou via un formulaire d’adhésion SƆHU.

Vous, personne physique candidate à l’assurance ou personne morale pour le compte de vos employés, adhérant librement à la convention négociée et souscrite par APS-Bénin ("le Souscripteur") pour le compte de ses Adhérents, dont les coordonnées sont celles déposées sur les formulaires du Site ou les documents d’adhésion. L'adhérent signe la demande d'adhésion et est redevable de la cotisation d'assurance et des droits d'adhésion à l'APS. Il peut être différent du Bénéficiaire qui est l’assuré bénéficiaire des garanties. Pour souscrire au contrat SƆHU, l'Adhérent doit être membre de l'APS-BENIN moyennant une cotisation annuelle indiquée sur les documents d'adhésion et accepter sans contestation aucune les statuts et le règlement intérieur de l’Association, téléchargeables sur le Site ou disponibles sur simple demande à l'APS-Bénin. Il reconnaît également avoir pris connaissance des conditions générales de la police (téléchargeables sur le Site ou sur simple demande auprès de l'Assureur). Il est important que Vous comme les Bénéficiaires aient bien compris le fonctionnement du contrat, les délais de carence, les exclusions etc avant de vous engager. L'Assuré principal  reste seul responsable de ses déclarations à l'Assureur (questionnaire médical) pour lui-même comme pour ses Bénéficiaires.

Nous, Africa BSI, courtier en assurances à Cotonou régulièrement enregistré,  Mandataire de l’association APS-BENIN, chargé de la souscription de l'assurance SƆHU pour le compte de ses adhérents avec délégation d' Atlantique Assurances Bénin, l'Assureur.

Procédure de souscription médicale
Nous proposons une procédure de vente et de souscription visant à une sélection des risques pour assurer l’équilibre de la convention négociée par l'APS pour ses Adhérents. Toutes les adhésions sont conditionnées par une « souscription médicale » des Bénéficiaires : questionnaire médical + visa médecin conseil de l’APS-BENIN. Il est communiqué sur le Site et les documents commerciaux une grille tarifaire pour les cas « standards ». Les dossiers considérés « non standards » et ceux des candidats à l’assurance âgés de plus de cinquante ans sont soumis à l’appréciation des médecins conseil de APS-BENIN et de l'Assureur. Le médecin conseil de l'Assureur est seul habilité à trancher en dernier ressort. Ses décisions sont souveraines et ne peuvent être contestées par un candidat à l’assurance ni par l'APS-Bénin. 

La déclaration de l'Adhérent et des Bénéficiaires
Conformément au Code CIMA, l'Adhérent et le Bénéficiaire déclarent que l'ensemble des informations qu'il fournit à l'Assureur est exact. Ces informations servent de base aux Conditions Particulières. En cas de changement de sa situation telle que déclarée au jour de la signature du Contrat, l'Adhérent s'engage à mettre à jour les informations le concernant, via courrier adressé à l'Assureur ou son représentant contre accusé de réception.

La fausse déclaration intentionnelle est sanctionnée par la nullité du contrat. Les primes payées demeurent acquises à l’Assureur (Article 18 du code CIMA).

La procédure de souscription du Contrat
Après avoir consulté librement la description des garanties et les Conditions Générales du Contrat, le candidat à l’assurance peut effectuer sur le Site des simulations tarifaires, demander un devis ou compléter en ligne le formulaire de demande d’adhésion à l'APS et au contrat SƆHU. Il renseigne alors les informations concernant son identité, indique ses choix de garanties, les Bénéficiaires des garanties et répond à toutes les questions. Chaque Bénéficiaire majeur complète un questionnaire médical. Pour les mineurs, c’est le représentant légal qui est responsable des déclarations. L'Adhérent et les Bénéficiaires acceptent les dispositions contractuelles (Conditions générales et documents contractuels) en cochant la case réservée à cet effet. Les formulaires peuvent être également téléchargés ou sont à disposition auprès des Intermédiaires agréés par Atlantique Assurances Bénin.

Conformément au code CIMA, la demande d’adhésion n’engage ni le candidat à l'assurance, ni l’Assureur. A réception de la demande d’adhésion en ligne ou physique, le Mandataire procède à l’analyse du dossier médical, avec visa du médecin conseil de l’APS-BENIN en charge de la pré-souscription. 

Si le profil médical le justifie (pathologie préexistante ou chronique, candidats à l’assurance âgés de plus de cinquante ans…), la souscription peut être  conditionnée par une visite médicale du Bénéficiaire auprès du médecin conseil de l’APS-BENIN. Si le Bénéficiaire réalise l’examen, la consultation est payable directement par lui au cabinet médical (10 000 F CFA). En cas de souscription à SƆHU par un Bénéficiaire ayant eu à supporter le coût d’une visite médicale, APS-BENIN rembourse, sous un mois, 50% du coût de la consultation (soit 5 000 F CFA), par chèque ou Mobile Money, au Bénéficiaire.

Le médecin conseil de l’APS-BENIN communique un avis confidentiel au médecin conseil de Atlantique Assurances Bénin, seul décideur de la décision de souscription et de la tarification pour ces cas-là.  APS le Souscripteur du contrat n'a en aucun cas à justifier aux adhérents des décisions de l'Assureur qui sont souveraines.

Une fois la décision de l'Assureur communiquée au Mandataire, celui-ci envoie au candidat à l'assurance un mail, ainsi qu'à l'Intermédiaire en charge, avec un appel de cotisation et l’ensemble des documents précontractuels ainsi que sa facture d'adhésion à l'APS si elle est due.

Si le candidat à l'assurance accepte les conditions proposées par la Compagnie d’Assurances, il peut procéder au paiement intégral de la prime et (si elle est due) au paiement de son adhésion à l'APS par chèque libellé à Atlantique Assurances, en espèces ou par virement sur les comptes de Atlantique Assurances. Une fois les fonds reçus par l'assureur (dans un délai maximum de 90 jours après la demande d'adhésion), le Contrat est conclu et les garanties activées. L’adhésion est matérialisée par un certificat d’assurance électronique envoyé sous 24h à l'Adhérent par mail puis une notification d’expédition des documents contractuels, de sa carte personnalisée lui donnant accès au réseau tiers-payant de l'Assureur et de son adhésion à l'APS (le "Welcome pack SƆHU"), via l'intermédiaire en charge.

Les documents sont par ailleurs accessibles à l'Adhérent dans son « espace assuré » sur le Site. APS-BENIN enverra par mail à l'Adhérent ses identifiants pour se connecter.

Le délai de livraison du "Welcome pack SƆHU" est de un mois maximum à compter de la date de réception des fonds par la Compagnie d’Assurances. En attendant la réception de son "Welcome pack SƆHU", le bénéficiaire est cependant couvert suivant les termes du contrat et son certificat électronique d'assurance pourra être présenté dans le réseau tiers-payant de l'Assureur. 

Conditions de rétractation
Le client dispose d’un délai de 7 jours à compter de la date de son paiement pour exercer son droit de rétractation par courrier recommandé à Atlantique Assurances Bénin ou à l’intermédiaire en charge. La prime lui sera alors remboursée à 90% par la Compagnie d’Assurances dans la mesure où le contrat n'a pas été utilisé. Les droits d’adhésion à l’Association sont acquis à l’Association dont il reste membre tant qu'il réglera ses cotisations annuelles. 

Perte de la carte d’assuré 
En cas de perte de la carte d’assuré, il sera demandé par l'Assureur à l’Adhérent un forfait de 5 000 F CFA pour sa réédition. 

Réclamations
Les réclamations sont reçues avec bienveillance attentive. En cas de litige, le client peut s'adresser au Président de l'APS-Bénin, souscripteur du contrat collectif, de préférence par mail à : contact@aps-benin.com pour obtenir, si possible, une solution amiable. Il peut aussi contacter Atlantique Assurances Bénin à l’adresse indiquée sur le site de Atlantique Assurances Bénin. 

Protection des données personnelles
Les informations recueillies sur le Site font l’objet d’un traitement destiné à la souscription et à la consultation des contrats d’assurance et l’exécution de l’ensemble des services qui y sont rattachés. APS-BENIN, son Mandataire, Atlantique Assurances Bénin et ses Intermédiaires agréés s’engagent à ne diffuser aucune information relative aux membres à des tiers autre que la Compagnie d’Assurances. Les fichiers des adhérents de l’association ne pourront être utilisés par APS-BENIN, son Mandataire, Atlantique Assurances Bénin ou ses Intermédiaires agréés à des fins publicitaires ou sortant du champ des activités de l’Association. 

Sécurisation
Le site www.aps-benin.com fait l’objet d’un des systèmes de sécurisation les plus performants à l’heure actuelle. Il a non seulement adopté le procédé de cryptage SSL (Secure Socket Layer) mais également renforcé l’ensemble des procédés de brouillage et de cryptage afin de protéger le plus efficacement possible toutes les données sensibles liées aux moyens de paiement. Le Site n’a jamais accès aux informations confidentielles relatives aux moyens de paiement. En application de la loi 2009-09 du 22 mai 2009 portant sur la protection des données personnelles, notre site fait l’objet de déclaration à l'APDP ex CNIL (autorisation de collecte de données personnelles n° 024-2018/APDP/Pt/SG/DAJC/SA du 30/11/2018 et autorisation de traitement des données de santé n° 2019-005/AT/APDP du 21/06/2019) et vous pouvez exercer vos droits d’accès, d’opposition, de rectification et de suppression en envoyant un mail à contact@aps-benin.com.